Base de recherche innovant de l'histoire et de la littérature de Gandja
Автор: Гасанов Эльнур Лятиф оглу
Рубрика: 6. Этнография и историческая антропология
Опубликовано в
III международная научная конференция «История и археология» (Санкт-Петербург, декабрь 2015)
Дата публикации: 18.06.2015
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Гасанов, Эльнур Лятиф оглу. Base de recherche innovant de l'histoire et de la littérature de Gandja / Эльнур Лятиф оглу Гасанов. — Текст : непосредственный // История и археология : материалы III Междунар. науч. конф. (г. Санкт-Петербург, декабрь 2015 г.). — Санкт-Петербург : Свое издательство, 2015. — С. 72-74. — URL: https://moluch.ru/conf/hist/archive/168/8529/ (дата обращения: 16.11.2024).
Gandja est l'une des anciennes villes dans le monde. Sur la base de nouvelles méthodes et technologies innovantes ont été étudié les principales caractéristiques de la formation de la culture urbaine dans la ville antique Ganja dans ce travail scientifique.Le nom de la ville est tiré des tribus turcophones «Gəncəklər» (Gandjaklar). Aux différents étapes de l’histoire de l’Azerbaïdjan Gandja tout en conservant son statu, les traditions de l’ancien Etat et l’indépendance était d’une grande importance. Cette ville avait été le province principale du Califat en VIIesiècle, en XIesiècle des Saldjouq, en XII-XIII siècle le siège principale en état Atabaylar. L’étoile éternelle du ciel de la sagesse le poète et d’Azerbaïdjan Nizami Gandjavi est né à Gandja dans la famille d’aristocrate (noble) et y a changé sa monde. Dans son ensemble, pour la sivilisation humaine il a crée un monument de moral matériel. Le mausolée de chéïkh Nizami, érigé au début de XIIIesiècle à Gandja,dès sa construction s’est transformé au lieu de saint (pèlerinage) du peuple «Irfan» et des hommes au bout des siècles. Ce lieu de pèlerinage est devenu le lieu saint non seulement pour les habitants local et pour les hommes qui aimaient Nizami et aussi pour les penseur célèbre de l’orient. De ce point de vue Gandja est aussi l'un de plus ancien centre culturel de l'Azerbaïdjan. Ayant une histoire de 4000 ans Gandja est célèbre de son İmamza-dé, comme un lien de pélerinage et comme un monument historique du monde oriental. Gandja est l'une des anciennes villes dans le monde. Sur la base de nouvelles méthodes et technologies innovantes ont été étudié les principales caractéristiques de la formation de la culture urbaine dans la ville antique Ganja dans ce travail scientifique. L'Azerbaïdjan se trouve au carrefour de l'Europe et de l'Asie. Avec son climat doux, ses richesses naturelles et pour sasituation géographiquement et naturellement avantageuse l'Azerbaïdjan est très célèbre dans le monde entier. Notre pays est la partie importante de la sivilisation humaine. Aujourd’hui musée d’étnographie d’Etat de Gandja il y a 30.000 (trente mille) monuments protégés prouvant 40 mille ans de Gandja. Au milieu du septième sciècle, à Gandja, les écoles, les madrassas, les bibliothèques privées et publiques, ”Maison de sagesse”,” centre de guérison” ont été établis. La situation climatique importante (de la région), le beau paysage, la fortune naturelle riche, les resources d’homme de la région font connaître Gandja non seulement en Azerbaïdjan, mais aussi dans le proche et moyen Orient comme un des centres culturels, économiques et industriels. Avant de Jesus Christ (J.C) dans les années 400 (quatre cents) il a eu lieu un tremblent de terre très dévastateur, épicentré à 25 (vingt cinq) kilomètre de la ville Gandja moderne. Après le terrible tremblement de terre le sud de la ville était complètement détruite. Malgré le changement de l’emplacement, le château est toujours appelé par la population locale. Il s’agit d’une très vaste zone de forêt et dans le forêt, avec les matériaux de construction locaux construite sur les ruines de la magnifique château et les murs de la ville et les ravitaillement du port atteint jusqu’à nos jours.
Mirzé Chafi Vazeh est né en 1794 à Gandja dans une famille d’un maçon qui s’appelait Karbalai Sadiq. Il s’occupait de travaux architecturaux dans le palais du Khan de Gandja Djavad Khan. C’est pourqoui les vers de Mirzé Chafi Vazeh était respectés en étranger dans cette époque — là et ceux — ci fait connaître leur auteur. A propos ses oeuvres ne sont pas gardés en Azerbaïdjan, il n’a pas été connu dans son pays natal. M. Chafi a perdu son père quand il était très jeune. Il a vécu sous les auspices de son parent Hadji Abdulla. Son fils devient un clergé. Chafi a commencé à faire ses études réligieuses. Mais comme il s’intéressait à l’enseignement laïque, dans le medrécé (une école réligieuse) les clergés ont refusé de lui enseigner. L’un des premiers éducateurs du XIX siècle Mirzé Chafi Vazeh était contemporain de Abbasqoulou Aga Bakikhanov et dévancier de Mirze Fatali Akhundov. La poésie lyrique et philosophique avait été connue en Europe et en Russie. Ses vers rappelaient aux lecteurs europeens et aux lecteurs russes le grand poète persan Eumar Khaïam. C’est pourqoui les vers de Mirzé Chafi Vazeh était respectés en étranger dans cette époque — là et ceux — ci fait connaître leur auteur. A propos ses oeuvres ne sont pas gardés en Azerbaïdjan, il n’a pas été connu dans son pays natal. En fait Mirze Chafi Vazeh a dû quitter le medrécé. Sur cet événement orientimaliste Adolf Berjé a écrit dans ses mémoires. Après avoir quitté le medrécé il a commencé à s’instruire à developper ses connaissances intellectuelles et il a apris la langue persanne. Ça lui a permis de connaitre les grands poètes de l’Orient et ses oeuvres. A l’aide de Hadji Abdoulla Mirze Chafi Vazeh dirigeait les travails du palais de Pusté Khanoum, la fille de Djavad Khan. En 1826 pendant la guerre entre la Russie et l‘Iran Pusté Khanoum est oubligée de s’en fuire à l’Iran avec son frère Ougourlou Khan. Mirza Chafi reste sans travail, en ce moment-là Hadji Abdoulla meurt. Malgré que Mirzé Chafi reste seul, il ne tombe pas dans la déprétion, il commence à enseigner aux enfants et s’occupe d’apprendre l’écriture aux enfants. Un de ces enfants était Mirzé Fétéli Akhoundov qui apprenait l’écriture. En 1840 Mirza Chafi Vazeh arrive de Gandja à Tiflis. Au mois de novembre de la même année,à l’aide de Mirza Fatali Akhundov il est nommé le professeur d’ azerbaijanais et persan à l’école de territoire à Tiflis. Il habite à Tiflis jusqu ‘a la fin de l’année 1846. Après la sépartion de Tiflis il a écrit la poésie ”Adieu Tiflis” en langue persanne. En 1844 il crée une colloque pilosophique, littéraire Divanihikmet à Tiflis. A ce temps là, dans le colloque de vers participaient Abbaskoulau aga Bakikhanov. M. F. Akhoundov, les poètes Najami, Cheula, Mirza Hassan, Hadji Abdulla, Mirza Yousif, Vidadi, Haci Yusif. Grâce à l’activité de cette colloque Mirza Chafi Vazeh à fait la connaissace avec les hommes de science célèbres et hommes de profession (mitier). Gandja et Mirzé Chafi Vazeh L’un des membres de cette colloque était Fridrikh Fon Bodenchtedt né en 1819, au Province Payné se trouvant à côté de Honnover, la captale de Bas Sakson de’Allemagne. Bodenchtedtétait juif. Il avait fait ses études dans les universités célèbres comme Guétinguène, Munhène, Berlin. En 1841, Bodenchtetd arrive à Moscou et la il s’occupe de l’éducation des enfants de knyaz Mikhail Qolitsin. En 1844, avec l’inivitation de générale Neydtqart, juge en tête de caucase, il arrive à Tiflis et y travaille en qualité de professeur. Il apprenait la langue persanne. Mirza Chafi a son tour, faisait la connaissance avec les oeurvres des classiques de l ‘europe d’ouest, a l’aide de lui. En 1846 Bodenchtedt rentre en Allemagne. Dans les années 1889- 1890 il va aux Etats — Unis. En 1892 il est mort et il est enterré dans la ville Visbaden de l’Allemagne. En 1846, Mirza Chafi rentre à Gandja. Il est nommé en comme le professeur à l’école ”Qəza” (territoire) ouverte par l’état Attenant à professeurat, il s’occupe aussi de la créativité de poésie. En 1850, au mois de janvier il rentre à Tiflis et commence à travailler en qualité de professeur de la langue azerbaidjanaise à la gymnase des nobles. Il y habite jusqu à la mort (à la fin de sa vie). En 1852, le 28 novembre, il est derrière du jardin Botanique. Aujourd’hui, il n’y a pas d’originaire en persan et azerbaïdjanais édité en russe et dans les langues de l’europe d’ouest. Les manuscrits des vers sont emportés en Allemangne par Fridrix fon Boudenchtedt. Une partie de ces poésies ont étéintroduites dans son oeuvre ”Mille et un jour à l’Est”. Après son oeuvre, en 1851, F. Bodenstedt fait publier à Berlin un petit livret nommé Les chants de Mirzé Chéfi. Celui-ci, après une diffusion rapide, rend son auteur très célèbre. Peu après les oeuvres de Mirzé Chéfi se répandent vite dans toute l’Europe Occidentale.
Les réligieux ne l’aimait guerre car dans ses poèsies M. Chafi utilisait toujours les mots pinards, bien aimées, amante, maitresse etc. Les réligieux ne comprenaient pas que ces mots étaient des exemplaires littérraires. Dans les mêmes mots M. Chafi chantait l’amour extraordinaire plus forte que l’amour mondaine. Le premier de ces livres a été redigé pour les élèves supérieurs du lycée et le deuxième était pour les débutant et pour des écoles de province. Deuxième volume a été paru par Ivan Grigoriev a Tabriz en 1855 après la mort de Mirzé Chafi Vazeh et celui-ci fut utilisé, comme un manuel pour apprendre l’azerbaidjanais au lycée et dans les écoles de province. L’édition complète de ce livre apparut à la fin de l’année 1856 et a envoyé au Ministère de l’Education pour la permission de son utilisation comme un manuel. Mais certains proffesseurs de l’Université de Peterbourg ont écrit des opinions négatives. Dans la deuxième partie on présente des aforizmes et des citations citées de différents auteurs. Elles étaient traduites comme oeuvres Garabakhnamé et Derbendnamé Dans la troisième partie on présente beaucoup de vers. Les guéssidés et les extraits du poème Leyli et Medjnoun y sont introduits aussi. Ainsi, on peut dire que Mirzé Chafi Vazeh a présenté le premier manuel en azerbaidjanais. Après ce manuel à la deuxième cinquantaine du XIX siècle Mirzé Abdulhassan Vézirov, Seyyid Azim Chirvani, Rachid bek Efendiyev ont continué cette traditiond’écrire les manuels pour les écoles. On a fait beaucoup de recherches sur la vie et sur l’activité de Mirzé Chafi Vazeh dans son pays natal et dans des autres pays. En XIX siècle l’orientaliste le Almande Adolf Bergé a fait imprimer un guézel écrit en persanne un tekbeyt (c’est une espèce d’un vers de la poèsie oriantale) de Mirze Chafi Vazeh et la traduction de A. F. Veltmande dans la revue de l’Association Orientalisme d’Allemande. On a fait la recherche sur M.Ch. Vazeh en Russie, en Europe et dans d’autres pays.
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